Augmenter sa visibilité sur Google avec les microformats

Préalable : entendons-nous bien d’entrée, nous allons parler ici de visibilité et de chiffre d’affaire, pas de technique informatique « pour se faire plaisir ».

Les microformats sont utilisés par Google depuis 2009-2010, et pourtant, combien de boutiques en ligne les utilisent t-elles de nos jours ?

En effet, les microformats offrent des avantages indéniables. Plutôt que de vous les présenter pour la énième fois, je préfère vous renvoyer vers cet article de référence.

Puisqu’une image vaut mieux qu’un long discours, allons voir directement sur Google ce qu’il en est, et cherchons « bijoux vintage » :

Microformats
Sur les sept premiers de la première page, nous trouvons :

  • Un site bénéficiant d’un nom de domaine correspond exactement à la recherche (no comment), www.bijouxvintage.com, avec des bijoux de luxe proposés le plus souvent à plusieurs milliers d’euros. Ils ne manquent donc pas de moyens pour la maintenance et l’évolution de leur site.
  • Deux places de marché incontournables dans le bijou : Asos et alittlemarket. Idem ci-dessus.
  • Quatre sites plus modestes, dont Exotic Express pour lequel j’assure la gestion au quotidien.

 

On constate que sur cette requête d’importance moyenne-basse (1300 recherches par mois de France selon Google et 43700 pages sur la requête : allintitle:bijoux vintage), seuls deux sites sur les sept premiers utilisent les microformats : Exotic Express, et une des deux places de marché.

 

L’avantage en terme de visibilité sur Google est pourtant net : les microformats permettent d’afficher le nombre de bijoux correspondants à la requête : 390 sur Exotic Express et 30 (nombre archi faux !?) sur alittlemarket et des exemples de bijoux avec leurs tarifs.

 

Prenons un autre exemple sur une requête très concurrentielle : « pantalon femme » :

Microformats exemple

Zéro pointé pour ces marques drainant des millions, voire des dizaines de millions d’€ de chiffre d’affaire : aucune d’entre elles ne daigne gérer les microformats qui pourtant, leur permettrait :

  • De gagner une ligne sur la réponse de Google les concernant.
  • D’inciter les internautes à visiter leur site.

On peut supposer qu’elle comptent sur leur image de marque pour s’imposer. Pouvez-vous en faire autant ?

 

Vous avez (pour le moment) l’occasion de faire une petite différence. Prenez votre chance : gérez votre site et votre visibilité sur Google mieux que ces grandes marques, et, à positionnement égal, captez une part de leurs visiteurs afin de les convaincre à acheter chez vous : un véritable spécialiste du e-commerce qui maîtrise l’ensemble de son process, plutôt que chez un généraliste.

Infographie : le e-commerce en France en 2013

La source la plus fiable en ce qui concerne les estimations chiffrées de l’e-commerce en France est sans conteste la FEVAD.

L’infographie animée ci-dessous nous présente un instantané de la situation en cette fin de 2013.

On constate qu’il est difficile de contourner les places de marchés, et que si vous n’y êtes pas encore, il serait dommage de ne pas faire l’effort nécessaire pour en bénéficier vous aussi : plus de 10 millions de visiteurs uniques par mois vous « attendent » sur Amazon, PriceMinister et CDiscount notamment.

La progression de l’e-commerce est toujours indéniable en notre beau pays et ce, malgré quelques freins historiques (tarifs des envois postaux et tailles de boite aux lettres non adaptées aux Colissimo en tête). Petit souci : le nombre de nouveau sites marchands, et donc la concurrence, progresse au moins aussi vite que le marché, et de nouvelles places de marché montent en puissance (exemple : Asos).

Plus que jamais, il est nécessaire d’optimiser ses campagnes Adwords et son référencement naturel pour non pas progresser, mais ne pas régresser dans ce contexte toujours plus concurrentiel. C’est ce que nous faisons au jour le jour sur Exotic Express, avec un certain succès.

L’E-commerce ne connait pas la crise ! from FD Prod & Emmanuel Dassier on Vimeo.

Le m-commerce, ou le nouvel eldorado du e-commerce

Le commerce par mobile (m-commerce) progresse fort depuis l’avènement des iPhone et smartphones Android.

Sachant qu’il y plus de 1,5 milliard d’abonnements smartphones dans le monde en cette fin de 2013, et que la prévision est de 3,3 milliards en 2018, la tendance ne peut que se renforcer.

A titre d’exemple, plus de 15 % des ventes du site Exotic Express sont réalisés sur mobiles (6%) et tablettes (9%) en cette fin d’année.

L’infographie suivante nous en dit plus :

The Rise of M-Commerce

by infographicdesignteam.
Explore more infographics like this one on the web’s largest information design community – Visually.

 

Netlinking – La stratégie à adopter

Plutôt que de paraphraser les experts du référencement naturel, qui ont été nombreux a écrire sur le sujet de la popularisation de nos sites, je préfère vous indiquer cet article qui résume très bien ce qu’il est recommandé de faire en cette fin d’année 2013 : « Comment réussir sonlinkbuilding », par pole-position-seo.com.

Toutes les bases y sont, et comme on peut le voir, nous sommes loin des solutions « faciles » utilisées si récemment.

Soigner ses liens permet de faisant monter doucement mais surement votre site dans les moteurs de recherche, tout en assurant sa pérennité. Or, la pérennité est un des secrets de la réussite en e-commerce.

link-building

 

Evaluer un site avec le PageRank n’est plus possible, et si on passait à autre chose ?

Le PageRank (PR) est une note donnée par Google aux sites web. Elle varie de 0 (site tout neuf pas encore noté, ou considéré comme paria par Google) à 10 (note absolument exceptionnelle, qui est par exemple celle de Facebook et Google).

Pour information, vous pouvez voir le PR d’un site en utilisant un petit plugin adapté sur votre navigateur internet (Firefox, Chrome, IE…). Cherchez PR dans la liste des plugins et extensions et vous trouverez forcément votre bonheur.
Cette note est censée refléter le niveau de notoriété d’un site. Elle indique en quelque sorte sa « valeur » sur le marché, sa puissance : un site à fort PR (supérieur à 3) a très probablement un afflux permanent important de visiteurs. Il est donc « bankable », et tout lien posé sur ce site vers un autre site aura une forte valeur, car une partie de cette notoriété sera transmise au site cible du lien.

Foule

Pour y voir plus clair au sujet de cette note :
– Une note de PR0 a PR2 correspond a des « petits sites mal référencés » (sous-entendu qui ont été lancés récemment ou qui sont sur une niche et pour lesquels le référencement n’a pas encore été spécifiquement travaillé).

– Une note de PR3 a PR4 correspond a des sites que l’on peut considérer comme respectables (anciens et/ou sur des secteurs à bonne visibilité et/ou pour lesquels des moyens non négligeables on été mis en oeuvre afin d’accroître leur notoriété).

Exemples : Armand Thiery (PR3), Zalando (PR4), Sarenza (PR4)

– Une note de PR5 a PR6 correspond a des sites d’importance (idem point précédent à un niveau plus élevé).
Exemples : Pimkie (PR5), La Redoute (PR6)

– Les notes supérieures à PR6 sont réservés aux plus gros sites du web, des incontournables.
Exemple : Amazon France (PR8), Le Monde (PR8)

Bien entendu, il est possible de manipuler le PR de son site (à la hausse) ou de celui de ses concurrents (à la baisse) en utilisant des techniques plus ou moins propres et connues des professionnels du référencement de sites web.
Malgré cela, pendant des années, la note PageRank d’un site web était considérée comme un bon indicateur de la notoriété d’un site. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, cf. cet article : « Le PageRank est-il mort ?« .

Pourquoi ? Tout simplement parce que Google a arrêté de mettre le PR à jour depuis le 4 février 2013.

[Mise à jour du 09/10/2013 : Google a annoncé que le PR ne serait pas mis à jour avant la fin de l’année, cf. cet article].
Depuis cette date, la plupart des sites web ont évolués : certains mériteraient un PR supérieur à celui qu’il ont obtenu en février 2013, d’autres inférieur, et cela dans une amplitude très importante (plus ou moins 3 points par exemple).

Nous avons pourtant tous besoin d’évaluer la « puissance » d’un site ami ou concurrent dans le cadre de nos activités professionnelles, comment faire dans ces conditions si l’on ne dispose pas d’éléments internes fiables (nombre de visiteurs uniques journalier, nombre de liens externes pointant sur ce site, taux de transformation pour un site e-commerce, liste de clients pour un site professionnel B2B, etc.) ?

Il existe une solution tout aussi simple que la note PR, et équivalente : il s’agit des notes MajesticSEO.
MajesticSEO est une société spécialisée dans l’analyse du contenu des sites web et de la valeur des liens pointant vers eux. Ce dernier point est prépondérant dans l’évaluation de la notoriété et de la « puissance » d’un site : plus un site a de liens pointant vers lui (à savoir cité sur d’autre sites web), plus il est considéré comme populaire par Google.

La bonne nouvelle est que MajesticSEO publie gratuitement, avec une fréquence de mise à jour quasi quotidienne non pas une mais deux notes (de 0 à 100) :
– Le Citation Flow : plus cette note est élevée, plus le site est considéré comme populaire. Il s’agit donc d’un critère quantitatif.
– Le Trust Flow : plus cette note est élevée, plus la qualité des liens pointant vers ce site est bonne. Ce critère décisif éclaire la note précédente car il est lui, qualitatif.

Ainsi, il est tout à fait possible d’obtenir une note Citation Flow élevée (50 par exemple) en utilisant des techniques « sales », comme  la création semi-automatisée de milliers de liens positionnés sur des sites ciblés.
Majestic détectera que ces liens ne sont pas naturels ni de qualité, et attribuera une note Trust Flow bien plus basse, de l’ordre de 10 à 15.

Sachez qu’il est très difficile pour un site web de moyenne importance d’avoir un note Trust Flow aussi élevée que celle de Citation Flow. Un Citation Flow de 30 et un Trust Flow de 20 sont des notes déjà respectables (similaires à l’ancien PR3).

En reprenant nos exemples au 27/09/2013 (PR/citation Flow/Trust Flow) : Armand Thiery (PR3/45/51), Zalando (PR4/52/34), Sarenza (PR4/57/46), Pimkie (PR5/53/30), La Redoute (PR6/57/64), Amazon France (PR8/74/83), Le Monde (PR8/73/73).

Pour voir ces deux notes très facilement et gratuitement, rendez-vous sur le site MajesticSEO et entrez l’adresse du site de la page d’accueil du site visé (attention, chaque page a sa propre note).

Adwords – Optimisation

Etant donné la position dominante du moteur de recherche Google en France, la publicité via Adword fait partie des éléments phares de la stratégie de visibilité d’un site marchand.

Adwords

Petit souci : la concurrence est très forte (il se crée plus de 20 000 sites marchands par an en France), Adwords coûte cher, et vous ne pouvez pas vous permettre d’investir sans savoir combien vous rapportera ce canal incontournable.

En tant qu’administrateur du compte Adwords de mon propre e-commerce et ayant bénéficié des conseils avisés d’un coach certifié Adwords sur une période de plusieurs mois, je suis à même de vous conseiller et de vous accompagner dans ce domaine complexe et sensible.

Pour faire court, Adwords fonctionne selon un système d’enchères : plus vous payez cher le clic des internautes sur les mots-clés que vous aurez choisis (de préférence judicieusement), mieux vous serez placé sur la page de résultat Google et donc, plus vous serez visibles et à même de faire des ventes (à condition que vos pages de destination soient efficaces).

Cela parait simple, sauf que Adwords intègre un système de calcul de votre positionnement : il n’est pas seulement fonction du coût au clic (le CPC), mais aussi de l’efficacité de votre annonce (le CTR).

Vous vous intéresserez également au taux de conversion, à votre position moyenne, à votre efficacité sur mobiles et tablettes (15% des ventes sur notre site e-commerce en août 2013 !), bref tout un univers.

L’administrateur de votre compte Adwords sera donc amené à effectuer des actions précises, des tests, tout sortes d’optimisations afin d’améliorer vos indicateurs et ainsi, de faire abaisser la fameux coût d’acquisition client. En clair, d’améliorer votre visibilité et la rentabilité associée.

A titre d’exemple, avec la mise en place d’actions adéquates et pour quelques heures de travail seulement (le tout sur une période de moins de 3 mois), les indicateurs Adwords du site marchand Exotic Express ont été améliorés de la manière suivante :

  • Position moyenne – Avant : 3,2 – Après : 2,5 => les annonces sont mieux positionnées.
  • CTR – Avant : 0,52 % – Après : 1,33 % => la visibilité augmente : pour 1000 affichages, 5,2 internautes cliquaient sur les annonces avant optimisation, 13,3 après optimisation.
  • Taux de conversion – Avant : 1,04% – Après : 1,30% => le nombre de ventes augmente à nombre de clics égal.
  • CPC – Avant : 0,12 € – Après : 0,12 € => et pourtant, le coût au clic est le même, il n’y a aucun surcoût financier, seulement de l’optimisation à coût égal.

En conséquence, le nombre de ventes mensuelles par le canal Adwords à triplé.

Le suivi régulier de ces indicateurs et des actions menées vous permettra d’atteindre vos objectifs commerciaux via Adwords.

Le cahier de recette e-commerce

Comme pour tout projet informatique, il sera nécessaire de valider formellement que le résultat de la prestation réalisée correspond au besoin spécifié en amont (cf. le cahier des charges et les Wireframes notamment).

Cahier de recette e-commerce

Cahier de recette e-commerce

Le cahier de recette comporte la liste des scénarii et des tests à effectuer. Ceci recouvre la conformité du produit fini au niveau :

  • Du design/look du site, soit les aspects graphiques et ce, pour tous les navigateurs internet cibles et tous les médias, PC, tablettes, mobiles…
  • Des fonctions attendues : leur complétude et leur bon fonctionnement en toutes circonstances.
  • De la performance du site : sa rapidité, sa tenue en charge le cas échéant.

Pour un projet ambitieux, il pourra être précédé d’un document chapeau appelé « stratégie ou protocole de test », qui fixe le planning de la ou des recette(s), ses objectifs, les moyens mis en oeuvre, etc.

En phase de recette et pendant son déroulement selon le cahier de recette, un document de suivi au format Excel servira d’interface entre le client et le prestataire. Il comprendra la liste des tests effectués, leur résultat, le correctif attendu le cas échéant avec la date de livraison, la validation finale du test, notamment.

A la fin de cette phase cruciale, il est sain de signer un procès-verbal de recette, actant de l’acceptation du produit avant livraison pour installation. Ce document peut indiquer un certain nombre de réserves et de correctifs à apporter à échéance, ceci afin de ne pas bloquer le projet dans cette phase.

Le cahier des charges e-commerce

Le cahier des charges contient l’ensemble des informations nécessaires et suffisantes à la contractualisation entre vous et le prestataire en mesure de mettre en oeuvre la solution :

1. Une introduction présentant un résumé du besoin, la situation actuelle, la présentation de l’entité demandeuse et de ses perspectives.

2. Les spécifications détaillées comprenant :

  • La description du besoin au niveau graphisme et ergonomie, la charte graphique.
  • Les spécifications du Front-Office (le site marchand vu par les acheteurs), avec l’ensemble des fonctions demandées, notamment au niveau de la page d’accueil, de la page catégories (la liste des produits), de la page produit et du processus de prise de commande. Les informations liées au look & feel du site (le design), sont également précisées.
  • Les spécifications du Back-Office (l’arrière boutique permettant au marchand de gérer son commerce en ligne), notamment les fonctions liées au catalogue produit, la gestion des commandes et des clients, les modes de livraison et moyens de paiement, la gestion des avoirs et promotions, les statistiques, etc.
  • Les interfaces avec les systèmes tiers et/ou informatiques de l’entreprise.
  • Les objectifs et besoins concernant le référencement du site.

3. Des chapitres dédiés couvrent les éventuels besoins spécifiques au niveau des fonctionnalités, des aspects liées au matériel (machines, imprimantes, lecteurs de code barre, hébergement du site, etc.).

4. L’organisation du projet : contraintes, intervenants, lotification, planning, conditions de tests, notamment.

Ce document devra être validé et signé par les deux parties avant le démarrage du projet.

Cahier des charges e-commerce

Optimisation de l’expédition par Lettre Max

Monter un e-commerce basé sur la commercialisation de petits objets constitue une approche comportant un certain nombre d’avantages, nous publierons un billet spécifique sur ce sujet…

Lettre Max - Article

La Poste propose des solutions relativement pratiques pour l’impression des liasses Colissimo, mais rien n’est prévu pour les Lettre Max, qui sont pourtant bien pratiques :

  • Leur tarif est compris entre 2,9 et 3,3 € pour les plus courantes, soit environs deux fois moins que les colis.
  • Elle sont cartonnées et protégerons mieux vos expéditions que les classiques lettres à bulles (il est recommandé d’emballer les objets dans des bulles de toute façon avant de les insérer dans les lettres cartonnées). Leur épaisseur de 2 cm est suffisante pour nombre de petits objets.
  • Elle comportent un numéro de suivi, tout comme les Colissimo et à ce titre, sont traçables sur le site de suivi du courrier de La Poste.
  • Les délais de livraison sont équivalents aux Colissimo, voire même un peu plus rapides : 24 à 48 heures à plus de 90% des cas.
  • Leur distribution directement dans la boite aux lettres est quasiment assurée 100% du temps, contrairement aux colis qui nécessitent souvent de se déplacer à La Poste. Ce point précis est d’ailleurs un frein important à l’e-commerce en France, contrairement à d’autres pays d’Europe.
  • Il y très peu de vols et de pertes, car la valeur de leur contenu est jugé faible par les malandrins.

Ainsi donc, vous décidez d’utiliser les Lettres Max, c’est maintenant que les ennuis commencent. Au début, vous pourrez vous permettre de réaliser toutes les tâches manuellement :

  • Ouvrir la commande dans le Back-Office de votre solution e-commerce.
  • Sortir le ou les objets commandés du stock.
  • Le préparer, l’emballer, etc.
  • Ecrire l’adresse de livraison sur la Lettre Max.
  • Saisir le numéro de suivi dans le Back-Office pour expédition d’un email au client.

Assez vite, on comprend l’intérêt d’optimiser certaines tâches : il est notamment possible d’acheter une douchette de scan qui va vous éviter de saisir le numéro de suivi à la main (entre 50 et 100 €, attention à bien choisir un modèle laser, plus précis et efficace). Vous devrez malgré tout le faire pour chaque commande…

A partir d’un certain volume de commande journalière, il va être nécessaire d’aller plus loin, avec les objectifs suivants :

  • Imprimer la liste des objets commandés pour pouvoir les sortir du stock plus rapidement, voire confier la liste à une personne chargée de cette tâche.
  • Imprimer des étiquettes comportant l’adresse de livraison, de manière à avoir juste à les déposer sur la Lettre Max.
  • Imprimer des étiquettes comportant le numéro de commande et le numéro de suivi (les deux au format code barre). Elles pourront être collées sur la partie détachable de la Lettre Max et éviteront d’entrer dans chaque commande pour indiquer le numéro de suivi : à partir d’un module spécialement développé à cet effet (peu onéreux car simple à réaliser), vous pourrez scanner les deux codes barres (n° de commande et suivi) à la suite. Le module se chargera d’indiquer à votre solution e-commerce que la commande n° X a tel numéro de suivi et a été expédiée, ce qui entraîne automatiquement la modification de son statut et l’expédition du mail au client. Joie.

Il existe des variations sur ces thèmes de l’automatisation des tâches, n’hésitez pas à nous contacter pour en discuter et étudier ensemble la meilleure solution.